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FaceBook au top de l'horreur. | |
Inaniel de Bordeaux |
Lu ça.
Et puis, je l'ai relu. Lisez ce qui est en rouge. Un chaton brulé vif sur Facebook Au Royaume-Uni, des internautes se sont filmés en train d'asperger d'essence un chaton dans un sceau avant d'y mettre feu. Le supplice dure deux minutes avant que l'un des auteurs ne se décide à mettre fin au cauchemar en versant de l'eau sur la pauvre bête. Cette vidéo insoutenable a été publiée sur Facebook. Choqués par tant de sadisme, des milliers de personnes ont signalé la vidéo comme abusive auprès des administrateurs du réseau social. Cependant, contre toute attente, le site fondé par Mark Zuckerberg n'a pas considéré que le contenu contrevenait à son règlement. Contacté par le Daily Mail, Facebook a indiqué que la vidéo n'était pas accompagnée d'un commentaire incitant à la haine. Ainsi, les responsables du réseau considèrent qu'il ne s'agit que du "partage d'une expérience". Une décision qui relance le débat sur la politique de censure de Facebook. En effet, le réseau social supprime systématiquement les contenus à connotation sexuelle. L'un des exemples les plus marquants reste sa censure de l'Å“uvre de Courbet, "L'Origine du monde". Cependant, le réseau est plus laxiste avec les publications violentes ou racistes. |
mapetiteballe de Liege |
Jusqu'où iront-ils? Où est la limite? |
Muriel de Bordeaux |
Alors moi je n'ai vu que très rarement passer ce style de vidéo cruelle sur mon compte, mais quand ça se passe, je demande directement à mon "ami" à l'origine du partage de ne plus envoyer ce genre d' horreur, de ne plus partager, je ne le supporte pas!
Mais si les administrateurs de FB parlent là d'une expérience de partage c'est à ne plus rien comprendre.. |
Amaliant3 de Bordeaux |
on peut aussi directement signaler la vidéo...je l'ai déjà fait (signaler une publication)
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Muriel de Bordeaux |
Oui je l'ai déjà fait aussi!
mais dans l'écrit de Daniel, apparemment ce n'est pas tjrs pris en compte.. |
Ewa1 de Clermont-ferrand |
Je n'ai heureusement pas vu passer cette vidéo. Je me demande bien d'ailleurs qui de mes amis aurait pu me partager ça !!
Voici par contre le "gout de gueule" sur le sujet partagé par psycho magasine. http://blogs.psychologies.com/les-400-c … 38070.html Facebook n'hésite pas, par ailleurs, à censurer des photos de seins nus (dans mes souvenirs : une gamine de 3 ans sans le haut de son maillot de bain, une femme allaitant son bébé au sein... ou "l'origine du monde" de Courbet Et récemment, la photo d'un prématuré cerné par les peluches... et les tuyaux. |
Ewa1 de Clermont-ferrand |
Correction : mes souvenirs étaient embrumés : j'ai mélangé des trucs avec Instagram...
Pour le bébé, c'est là : http://expresse.excite.fr/facebook-dema … 35363.html |
Inaniel de Bordeaux |
Merci, Evelyne, pour le partage.
Je ne connaissais pas cet épisode-là. Sont nuls, ces types |
Ewa1 de Clermont-ferrand |
J'ai envie de dire pareil : "sont nuls"...
Mais je me souviens d'avoir été (et d'être encore je crois, bien que peu sollicitée) celle qui clique ou pas sur "suppr" sur différents groupes de discussions, forums et autres sites de rencontres amicales... Même si les règles sont clairement écrites, ce qui n'est pas toujours le cas, comme pour toutes les lois, l'interprétation est parfois sujette à caution dans quelques cas particuliers. Le buzz fait autour de ce genre de cas permet au moins de se poser la question : - y a t-il des vrais gens qui prennent les décisions "personnellement en personne", ou bien sont-ce des algorithmes qui se contentent des chiffres collectés lors des clics d'utilisateurs ? - et question subsidiaire, si je devais décider de ce qui doit être publié ou pas, quelle seraient les justifications de mes choix ? |
mapetiteballe de Liege |
En ce qui concerne la dernière question, si j'étais dans le cas, mes limites seraient en accord avec mes valeurs: le respect, de tout et de tous, humains ou animaux.
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Ewa1 de Clermont-ferrand |
Je partage les mêmes valeurs Marianne
Et je croyais que par conséquence, ce serait simple. Mais parfois se télescopent le respect du posteur, de "l'objet posté" et du "regardeur" (pour ne pas dire "voyeur"). Parfois aussi, les intentions du posteur semblent bonnes, charitables même, mais peuvent avoir des conséquences dramatiques à plus ou moins long terme. (des exemples sur le fameux site de hoaxbuster). Autre exemple qui reprend le parallèle du premier sujet : En france, un gars a posté son exploit : "lancé de chat contre un mur". Mal lui en a pris, puisqu'il a été pris. Ce sont les facebookeurs qui ont participé à sa dénonciation, sa localisation et donc amené son passage devant le tribunal, avec l'aide d'une association de protection animale. (et le chaton, bien qu'amoché, a retrouvé sa "famille" par le même biais) Autre exemple : Un père post la photo de son enfant après une bonne "correction". Après signalement aux autorités, (par une relation) le "père" sera arrêté, et l'enfant conduit aux urgences (mais gardera des séquelles graves). On peut se dire : - si Facebook avait censuré l'image, ces personnes resteraient impunis, et l'enfant et le chat encore torturés... - d'autre part, on peut se poser la question de la dénonciation, qui reste tabou en France à cause du rôle des "collabo" pendant la guerre de 39-45 (nan, c'est pas la dernière hélas) et du courage ou pas de l'intervention en regard d'un clic de dénonciation à Facebook qui garde pour moi l'écho d'un tartuffien "cachez ce sein que je ne saurais voir"... Bon, quand vous voyez la longueur de mes phrases, imaginez la "tempête sous un crâne" que provoque chacune de mes décisions avant le "clic rageur" dont parlait une co-modo sur un autre site... La solution la plus simple est-elle la meilleure, et vice versa, dans ce monde compliqué des réseaux sociaux conjuguées à l'imparfait du subjectif des relations humaines... |
mapetiteballe de Liege |
Je parlais bien de respect, de tout et de tous.
Mais évidemment, tjs faire passer la victime en premier, s'il s'agit de scènes avec victimes et donc violence. Comme dans la réalité du quotidien.. Entendre son voisin battre sa femme ou ses enfants exige bien sûr que l'on intervienne, d'une façon ou d'une autre. Et on fait fi dans ce cas du respect de leur vie privée, ainsi que des grands principes anti-délation.. |
Inaniel de Bordeaux |
Evelyne, les exemples cités dans ce thread sont tellement extrêmes qu'en tant qu'humaine, tu n'aurais eu aucune hésitation.
On peut hésiter devant des trucs plus incertains, mais pas devant ça. Quant au problème de la dénonciation, personnellement, il ne m'a jamais posé de cas de conscience démesuré et insurmontable. Si je suis face à un truc dégueulasse ou dangereux, je dénonce. Dans la vie, il y a beaucoup de trucs dégueulasses que l'on peut dénoncer sans être qualifié de délateur, même s'il est même dangereux de dénoncer. ... Violence envers les femmes, les enfants, actes débiles et cruels, etc, etc... Faut y aller sans remords. Les dénonciateurs ont aussi fait avancer le monde (politique, social). Et puis un connard qui fait brûler un chat fera toujours plus. Oui, c'est un procès d'intention, mais je suis quasiment sûr de moi. |
mapetiteballe de Liege |
Je suis assez sûre de toi aussi
Et de moi aussi bien sûr |
Ewa1 de Clermont-ferrand |
Enfin méfions nous tout de même, avant de voler au secours de la veuve et de l'orphelin : prenons le temps de relire notre contrat d'assurance responsabilité civile avant de plonger ... aukazou
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer … 06207.html |
mapetiteballe de Liege |
Evelyne, il ne s'agit pas de plonger tête baissée au secours de la veuve et de l'orphelin..
Il s'agit par exemple d'appeler les secours, la police notamment, qui est là pour çà. |
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