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96 messages

petites histoires, récits, fiction..

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malaurjo de Saint-malo

#2
malaurjo de Saint-malo , 25 Jui 2010 à 23:10
Bonjour à tous,

J'ouvre une nouvelle discussion au bar du coin sur un thème qui m'est cher : la narration d'histoires foldingues ou très sérieuses, mais toutes distrayantes. J'avais lancé ce fil sur un autre forum d'un autre site Oueb que beaucoup d'entre vous connaissent.

Alors je le précise tout de suite, cette idée est bien la mienne et il n'y a aucune antériorité appartenant à un site commercial. C'est juste une discussion de forum ; point barre.

Pour vous mettre en appétit et vous inciter à déposer des textes, je commence par poster les miens et si le c?ur vous en dit alors n'hésitez plus..

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malaurjo de Saint-malo

#3
malaurjo de Saint-malo , 25 Jui 2010 à 23:18
une histoire courte pour commencer : c'est bien entendu un clin d'oeil
elle s'intitule : "comment le désir revint aux divorcés !"

En ce temps là, la communauté des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves vivait des jours paisibles. Jamais un incident, jamais un mot plus haut que l?autre, ils se parlaient par l?intermédiaire du site depuis un temps que la mémoire d?homme ne savait plus dater. Les divorcés vivaient heureux et ne demandaient rien de plus.
Lorsqu?un homme rencontrait une femme, il lui tâtait les nichons pendant qu?elle lui soupesait les roustons. C?était la manière commune de se saluer en cette époque où les divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves vivaient débranchés du désir. Un homme rencontrait une femme, ils se saluaient ainsi, se tapaient sur l?épaule, comme de bons et joyaux drilles, et trouvaient une activité sympathique où la bienséance commandait la présence d?un homme et d?une femme. Cela pouvait être la tonde de la pelouse, la préparation d?un diner de réception, l?épluchage des légumes ou le jeu de solitaire qui nécessitait deux personnes de sexe différent.
Personne ne couchait avec personne, c?était une activité réservée aux personnes en couple. Pas moyen d?essayer, il fallait du désir et personne n?en avait. D?ailleurs personne ne s?en plaignait, chacun en soi même se trouvait bien soulagé de ne plus avoir à quémander de l?autre, ses faveurs sexuelles, et il faut bien le dire la communauté des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves grossissait souvent par la venue de volontaires, lassés de la vie de couple, et de la quête infiniment fatigante du plaisir du partenaire.
Quand un jour, un évènement improbable se produisit. Un méchant virus informatique produisit une confusion dans le fichier des cartes d?identité sur des homonymes. Tous les prénommés Roméo furent d?emblée affublés de la carte restreinte qui marquait l?état de divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves. Cela entrainait pour conséquence que leurs zones d?accès devenaient considérablement réduites, ils ne pouvaient plus circuler et résider dans les zones des personnes mariées. Ils devenaient assignés à la résidence des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves, sans autre vagabondage possible.
Pour quasiment tous, cela n?avait aucune importance, presque tous les Roméo étaient déjà devenus des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves, et étaient débranchés de leur désir. Sauf un, un seul, un homme de la gamme Alpha.
A la suite de l?attaque virale, il n?a pas pu rentrer chez lui. L?accès à sa Juliette Alpha, lui était devenu impossible. Des heures durant puis des jours durant, il est resté sur le seuil de la résidence qu?il ne pouvait franchir, il restait tout empli d?un désir qui le brulait et le maintenait en érection. Mais il ne savait qu?en faire, puisqu?il ne pouvait rejoindre sa Juliette.
Personne non plus, pour recevoir ses réclamations, le guichet était situé dans la zone des personnes mariées ! Personne pour le soutenir ou le nourrir. Il était devenu mort et invisible pour les personnes mariées.
Pour ne pas mourir de faim, il s?est vu contraint de rejoindre la zone des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves.
Et c?est alors que le grand chamboulement s?est produit.
Dès qu?il entra dans la zone, les femmes remarquèrent son érection et en tombèrent à la renverse, personne ne se souvenait ce que c?était et ce que cela signifiait.
Après avoir longtemps pleuré sa Juliette et résisté à la tentation, Roméo Alpha commença à devenir plus faible. La tentation finit par l?emporter. Il finit par observer de plus près les curieuses des zones Divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves qui le scrutait et s?interrogeait sur son anatomie. Roméo remarqua l?une d?entre elle, la plus jolie, et commença à lui parler. Mais son animation, le feu qu?il avait dans les yeux, sa vivacité produisit un effet inattendu sur la jeune personne, elle se mit à l?imiter lui aussi et à rechercher ses sourires et son regard. Fatalement, ils en vinrent à se caresser et se mirent à faire l?amour.


La communauté des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves venait d?exploser de cette furtive étreinte amoureuse en ses murs. Chaque femme voulut en faire autant avec le Roméo nouveau. Et chaque femme voulut à son tour montrer à un homme de la communauté comment il fallait s?y prendre.

C?est ainsi que le désir vint de nouveau envahir la communauté, apporter une promesse de jouissance aux bannis de la vie conjugale..

Et le bordel revint dans la communauté des divorcé(e)s, célibataires, veufs et veuves !
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mecplus de Saint-malo

#4
mecplus de Saint-malo , 25 Jui 2010 à 23:43
Cher Laurent, tu mets la barre haute d'emblée (si j'ose m'exprimer ainsi). J'ai eu plaisir à te lire.
Si l'inspiration me vient, je m'essaierai à poster une histoire.
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laurca de Saint-malo

#5
laurca de Saint-malo , 26 Jui 2010 à 11:49
Félicitations Laurent tu as réussi !

(je parle de la création d'un nouveau sujet de discussion, pas de l'écriture du texte , mais félicitations aussi pour tes talents d'écrivain )
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malaurjo de Saint-malo

#6
malaurjo de Saint-malo , 26 Jui 2010 à 16:59
Merci Laure, tu es trop généreuse envers mes talents.
Effectivement, l'ouverture d'un nouveau sujet est assez simple, j'y suis arrivé tout seul comme un grand et comme tu as pu le voir, j'ai posté mes p'tits délires.
J'ai fait exprès de choisir ce type d'histoires pour permettre aux écrivaillons poètes à leurzeur de se lâcher un peu (sans trop exagérer bien entendu parce que quand même il ne saurait être question de verser dans le lubrique ! ou le pornographique )..
@ Alain, merci de ton commentaire, mais je suis impatient de lire tes écrits, je suis sûr que ça doit pas mal dégager ...
à tous, n'hésitez pas, n'est ce pas ! n'attendez pas ma permission surtout..
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mecplus de Saint-malo

#7
mecplus de Saint-malo , 27 Jui 2010 à 20:40
"Le Rencard"

Le rencard était fixé dans le seul bar au bord du lac à quelques encablures de la ville. Le site était connu pour les rendez-vous galants. Il faut dire que la vue de l?eau, des bateaux et de la vallée prêtaient au romantisme.

Ce fût elle qui arriva la première, avec probablement l?intention de vérifier discrètement, avant la rencontre, si l?allure de l?énergumène correspondait bien à la photographie que ce dernier avait publié. Contrairement à lui, elle avait l?expérience de ce type de rencontre et elle devait avoir quelques méfiances quant à la véracité des photos et des présentations.

Lui, arriva en auto à l?heure pile du rendez-vous en n?ayant aucune idée du visage et des formes qu?il découvrirait car la présentation du « profil » de la fille était énigmatique et succincte. Aucune photo n?agrémentait sa carte de visite. Il passa devant le bistro avec l?intention de stationner son véhicule.

C?est à ce moment précis que l?histoire commence. LE BAR ETAIT FERME !

Puisque les numéros de téléphones mobiles n?avaient pas été échangés, comment retrouver une inconnue parmi les passantes qui longeaient le lac ? Il ralentit l?allure de sa voiture et avança très lentement durant quelques mètres après l?établissement. Tout à coup, il vît sur sa droite une silhouette féminine seule qui semblait observer attentivement ce qui se passait à proximité. Il ralentit encore un peu et il croisât le regard de la créature.

Il songea qu?elle pouvait être la personne avec qui il devait boire un verre. Il stoppa le véhicule et appuya sur le bouton pour abaisser la vitre droite puis il dirigea son regard vers elle. Elle s?approcha sans vraiment faire savoir si elle se dirigeait vers l?auto. Lorsqu?elle fût assez près, elle le reconnût et vînt franchement vers le carreau baissé.

Il comprît aussitôt qu?il avait affaire à « son rencard » et lorsqu?elle penchât son visage vers la portière? par réflexe probablement nerveux, il se mît à rire de l?incongruité de la situation. Le rire fût franc et communicatif car elle aussi se mît à sourire avant qu?aucun mot ne soit échangé. Quels furent d?ailleurs leurs premiers mots à travers la vitre de la portière ? Eux-mêmes ne doivent plus s?en souvenir.

Le seul souvenir pour elle, est que le rire du garçon lui a fait aussitôt se dire : « Celui-là, s?il est d?accord, je le serai aussi ! ». Cette pensée lui et venue alors que le gars était assis au volant et qu?elle n?avait aucune idée de son allure générale, de sa stature et de son niveau de conversation. C?est donc bien le rire du mec qui est à l?origine de la suite des évènements.

Lui n?a d?abord pas eu le temps d?engager la conversation. Il lui fallait dégager la voie de circulation et avancer jusqu?à trouver une place de stationnement. Mais, ni l?un ni l?autre ne souhaitait interrompre l?instant. Alors il prît l?initiative.

Face à la difficulté de trouver en cet endroit précis un stationnement, il lui proposa de monter à bord de son automobile et d?aller en ville boire le fameux verre pour faire connaissance. Elle accepta mais par précaution elle mît pour condition de la laisser téléphoner le numéro de la plaque minéralogique à une amie. L?a-t-elle vraiment fait ? Elle seule le sait.

C?est arrivés en ville lors de la descente de voiture et en se dirigeant vers l?estaminet qu?ils s?observèrent discrètement. Elle était toute petite et menue et ne correspondait pas aux critères habituels des femmes sur qui il pouvait se retourner. Lui était assez grand et rondouillard, alors qu?elle était plus attirée par les hommes à peine plus grand qu?elle et mince. L?histoire aurait donc dû en rester là après l?échange de quelques banalités en sirotant leurs cafés. Mais le rire et le sourire lors du premier regard avaient marqué leurs esprits. Il faut dire aussi que l?un et l?autre ne manquaient pas de charme, ils avaient tous les deux les yeux bleus. Lui ; était loin de ressembler à George Cloonay mais les femmes le décrivaient comme un bel homme. Elle ; avait un joli minois et sa frimousse prouvait qu?elle devait être séductrice.

Ils restèrent un long moment à boire un verre après les cafés et se distraire l?un et l?autre sans que le temps ne leur paraisse long. Leur conversation fût de bonne tenue, chacun maniait le verbe correctement.

Evidemment, leur présence dans le bar ne pouvait s?éterniser et si le garçon n?avait pas été un peu trop délicat et s?il avait deviné que La Belle souhaitait, puisqu?elle en avait décidé ainsi, prolonger la soirée chez lui ou dans une chambre d'hôtel, il ne l?aurait pas invité à la raccompagner jusqu?au lac pour qu?elle récupère sa voiture afin qu?elle puisse retourner à son domicile.

Heureusement, l?aventure n?en resta pas là?

Dois-je dans un prochain jour vous narrer une suite ?
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malaurjo de Saint-malo

#8
malaurjo de Saint-malo , 28 Jui 2010 à 10:15
bien sûr que oui, il nous faut la suite !!!!!!!!!
la suite !
la suite !
la suite !
la suite !
la suite !

Très bon début Alain, jeul savais qu'il y avait dans la bande des amateurs de belles zistoires, capable d'en écrire des croustillantes..
Toi lecteur, n'hésite plus, prend trois minutes et demande à sa majesté Mecplus de bien vouloir ontinuer ....

colal de Saint-malo

#9
colal de Saint-malo , 28 Jui 2010 à 19:22
oh oui oh oui oh oui!!!!
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mecplus de Saint-malo

#10
mecplus de Saint-malo , 29 Jui 2010 à 21:33
A Corinne et Laurent, merci de vos encouragements et pardonnez les quelques fautes de frappes, d'orthographes ou de conjugaisons que j'ai commises et repérées après relecture ce matin.

Le Rencard... suite.

Ils stationnèrent au bord du lac. Chacun connaissait à présent le prénom de l?autre :
Nathalie pour « Seinsnitouche » et André pour « Balafre ». A ce moment de l'histoire, il est à noter que c?est le pseudo d?André qui avait intrigué Nathalie et qui l?avait poussé à cliquer sur l?onglet « Chat » avant de prendre rencard. Pourquoi « Balafre » s?était-elle demandée ?

André s?apprêtait donc à ouvrir la portière de Nathalie mais celle-ci ne souhaitât pas en rester là, sans assouvir ses pulsions charnelles avant de rentrer chez elle. Pour elle s?était « tout de suite ou maintenant ». Elle avait ses raisons pour ne pas vouloir attendre plusieurs jours et, d?ici là, se sentir obligée de se dévoiler. Elle savait que ses aventures amoureuses restaient toujours sans lendemain et elle voulait en profiter car la vie ne lui avait pas fait de cadeau. A brûle-pourpoint, elle lui demandât s?il avait du bon thé chez lui.

La question ébranlât André. Même si La Belle était loin de lui être indifférente et s?il avait remarqué sous le jeans moulant que Nathalie avait un beau p?tit cul, il aurait préféré attendre et lui faire part de son intime secret avant de la conduire éventuellement chez lui. Il aurait souhaité la préparer et l?avertir de la découverte qu?elle ferait. Là, il n?avait d?autre choix que de répondre à la question posée. Il était amateur de thé de Chine et il s?approvisionnait chez le meilleur fournisseur de la ville. Il ne pût donc faire autrement que de l?inviter à venir en déguster une tasse.

Comment gérer la situation ? Aurait-il le temps de l?affranchir ? Quelle serait la réaction de Nathalie lorsqu?elle découvrirait le « pot aux roses » ? Il n?eût pas le temps d?élaborer une stratégie avant qu?ils ne pénètrent dans l?appartement.

En entrant, Nathalie prît le temps d?observer l?intérieur et de remarquer qu?il était décoré avec bon goût. André ne devait certes pas rouler sur l?or mais elle devinât qu?il devait aimer la lecture, la musique et l?art pictural. Décidément, elle était sous le charme.

C?est alors qu?elle se postât sans vraiment s?en rendre compte devant lui et que leurs regards convergèrent l?un vers l?autre. D?abords immobiles, les yeux dans les yeux, leurs corps se rapprochèrent imperceptiblement. André était attiré, aimanté par les yeux bleus de Nathalie et aucune parole ne pouvait sortir de sa bouche. Il n?avait plus le temps de l?avertir qu?elle risquait d?être déçue. Pas déçue par le goût du thé car ni l?un ni l?autre ne pensait plus au prétexte qui les avait amené ici.

Lorsque leurs lèvres s?effleurèrent et qu?ils s?enlacèrent, ils se roulèrent le patin qu?aucune littérature et aucun cinéaste n?ont jamais su décrire. Un palot gigantesque, fabuleux, éternel, exquis et d?une sensualité indescriptible.

Sous l?émoi, n?y tenant plus et sans que les bouches ne se séparent, Nathalie commençât à déboutonner la chemise d?André. Lorsque le dernier bouton fût dégrafé, André, comme après un réveil brusque, eût un mouvement de recul. Mais il était trop tard, elle avait eut le temps de faire tomber la chemise. Le poitrail était à découvert et laissait voir la monstruosité de la cicatrice. Une balafre qui partait de dessous le cou jusqu?au nombril, bordée de boursouflures rougeâtres indélébiles et avec les marques d?une multitudes d?agrafes, celles qui avaient suturé la plaie de la cage thoracique jusqu?à l?estomac certainement éventré.

Nathalie ne laissât pas le temps à André de se morfondre car, tout aussi spontanément que lui lors de leur rencontre près de lac, elle se mît à rire. Le même rire, franc et naturel. Un rire tout aussi communicatif qui permît à André de se détendre malgré la mauvaise posture dans laquelle il se trouvait.

Nathalie eût à ce moment précis l'idée de demander à André s'il possédait le CD de Joe Cocker où figure le fameux morceau datant de 1986 "You can leave your hat on" (Chanson reprise dans la scène de strip-tease du film "9 semaines 1/2". Filmé par Adrian Lyne avec Michey Rourke et Kim Basinger). André possédait ce titre et comprît qu'il devait l'insérer dans sa chaîne hifi. Ce qui fût fait.

Nathalie demandât alors à André de s'allonger sur le canapé. Aux premières notes de musique, elle commençât à se déhancher lentement. André sans doute gêné par le fait d?être torse nu avait croisé ses bras sur sa poitrine, comme pour camoufler ce qu?il pouvait.

La voix rauque de Joe Cocker continuait de faire se mouvoir Nathalie et elle commençât à déboutonner son jean?s puis lascivement, en dodelinant des fesses, à le baisser sur ses genoux tout en fixant les yeux du pauvre André. Elle projeta ses chaussures à talons vers le canapé puis réussi à ôter le jeans et continua de danser en posant ses doigts sur l?élastique de sa petite culotte. En balançant les fesses de droite à gauche, elle abaissa le slip jusqu?à ce qu?elle puisse le projeter, lui aussi, vers le visage d?André. Il n?en croyait pas ses yeux. Pourquoi commençait-elle par enlever le bas avant le haut ? Ce n?est pas comme çà dans le film, se dit-il.

... La suite au post suivant.
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mecplus de Saint-malo

#11
mecplus de Saint-malo , 29 Jui 2010 à 21:36
Le rencard, suite et fin.

Aux deux tiers de la chanson, Nathalie se mît à dégrafer son corsage par le bas. Un corsage ample qui faisait contraste avec le pantalon moulant qui laissait apparaître les formes de son beau cul et ses jambes. Ce corsage montait assez haut vers le cou et ne laissait pas deviner le volume des seins.

Une fois le déboutonnage exécuté jusque sous le soutien-gorge, elle continua par le haut du vêtement et descendît jusqu?au bouton du milieu des seins. Elle fît une pose en se lovant langoureusement. Puis, d?un coup défît le dernier bouton, écartât le corsage et dégrafât un soutien-gorge qu?André eût à peine le temps de trouver bizarre. Elle se détournât d?André, fît tomber le soutien-gorge et les prothèses à ses propres pieds puis fît face à André. L?ablation était totale.

La musique égrenait ses dernières notes et Nathalie continuait de danser. Elle vît une larme couler le long de la joue du pauvre quidam mais elle comprît, allez savoir pourquoi qu?elle était d?émotion. Une larme optimiste et d?espoir.

Depuis, les héros de cette histoire ont souvent été vus enlacés sur les bords du lac mais cet été, ils n?étaient pas deux? Ils poussaient un landau.

Mecplus 29/07/2010

colal de Saint-malo

#12
colal de Saint-malo , 29 Jui 2010 à 23:38
Merci Alain, c'est très joli et plein d'espoir
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malaurjo de Saint-malo

#13
malaurjo de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 10:40
C'est une très belle histoire Alain, quel talent !
Beaucoup de sensibilité, on comprend mieux pourquoi la dame était plutôt consommatrice jusque là..
Des histoires qui se vivent parfois, j'espère ...
merci Alain
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mecplus de Saint-malo

#14
mecplus de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 11:38
Je vous remercie de vos félicitations, vous êtes trop bons avec moi les amis. Puisse celle pour qui mon coeur bat apprécier mon exercice d'écriture. Je lui dédie l'historiette.
J'encourage toutes les lectrices et lecteurs à se lancer, eux aussi. Les textes ne sont pas obligés d'être aussi longs que ceux de Laurent ou de moi-même.
PS à Laurent : Ne crois pas que je serai apte à fournir des histoires toutes les semaines
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malaurjo de Saint-malo

#15
malaurjo de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 12:04
Bon alors je reprends la main, pour remettre l'histoire de martine..
Il y en a peut être qui ne la connaissait pas ...
Mais un épisode à la fois.. le temps que Mecplus avance sur une autre histoire (et moi aussi !)..
à moins qu'un écrivain caché n'apparaisse, en ce cas, qu'il n'hésite surtout pas..
Je fais ça cet aprèm'
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malaurjo de Saint-malo

#16
malaurjo de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 13:56
Bon : vous n'avez rien mis. Alors tant pis pour vous, je poste une histoire à épisodes.
Explication de texte. Le début m'a été inspiré par ma première sortie **** il y a un an. C'était déjà une ballade à vélo jusqu'à dinan avec un pique nique vers la maison de la Rance.


vachement dur le premier rendez vous - 1

C'est mon premier rendez vous avec Martine,
ça n'a pas été sans mal. Quand je l'ai appelé la première fois, elle m'a répondu à ma suggestion de sortir ensemble d'un ton très froid :"je ne sais pas si c'est bien indiqué !"
Toc, prends toi ça dans les mirettes et tâche de voir si l'approche directe est la bonne.
Mais c'est après quelques sorties, surtout une à vélo, que là les choses ont fortement évolué. J'ai fait monter mes actions comme dit Max qui joue à la bourse. Bon c'est sûr que c'était une foutue sortie à suer sang et eau pour tenir la cadence de 23 km/heure qu'imposait à tout notre groupe l'autre abruti qui en fait, lui régulièrement, et qui ne voit pas le problème à essouffler tous les autres.
Bref, après une première étape courte heureusement, nous nous sommes arrêtés pour le pique nique. En face d'une porte en bois remarquable sur une maison en ville qu'on devait se retrouver, évidemment on a été plusieurs à trouver des portes remarquables, mais bien entendu ce n'étaient pas les mêmes.
Moi je me fichais pas mal de la soi disant porte remarquable remontant à, chai pas quoi, le quatorzième, un truc comme ça, moi je suivais Martine sur son vélo..Et je me suis arrêté juste derrière Martine. Heureusement que Lucien avait repéré la porte et que Roseline est arrivée juste après, parce que sinon, Martine m'aurait dit : "dis donc, toi je n'ai pas été assez claire" ou un truc du genre. C'est que c'est quelqu'un Martine !
Moi elle m'a plu dès le premier coup d'?il dans notre groupe de zèbres esseulés. Elle fumait sa cigarette d'un air vainqueur, sans se soucier des observations et des blagues des autres. Elle m'a plu. Moi en revanche, je ne sais pas si je lui ai plu, c'est pas sûr, enfin pas tout de suite en tous cas.
Mais à la fin de cette sortie à vélo, comme elle s'est arrêtée parce qu'elle avait crevé, je me suis arrêté juste après et je lui ai réparé sa roue. J'en ai profité pour lui dire dans quel quartier j'habitais, quel était mon boulanger (bon là c'est vrai qu'elle s'en foutait !), et puis que j'avais une grande villa et que j'étais bien seul dedans.
Finalement, je l'ai intéressée et elle a été d'accord pour qu'on se voit une autre fois au resto. Bon je l'ai invitée, tout de même, soyons un peu galant, après tout, il fallait bien la décider.
L'autre fois au resto de la sortie à vélo, eh ben c'est maintenant, dans pas plus d'un quart d'heure. Et je ne suis pas prêt, 'tain, merde ! Et là je dois dire, je flippe...
Je ne sais pas si je vais être capable de tenir tout le repas à lui causer. J'aimerai bien commencer par parler en général, vous voyez, de trucs divers, qui se sont passées dans notre groupe dans la semaine. Il parait qu'elle est copine avec Véronique. Ça serait bien de la brancher la dessus, après on verra bien. surtout pas parler de politique, oh la la, trop risqué, imagine qu'elle ait voté pour le petit gars, non, non, un autre sujet.. On parlera pas d'enfants, oh non, ça va l'effrayer. Ouais, qu'est ce que je vais dire, si elle me demande pourquoi j'habite une maison si grande ? Alors ça, faut qu'je vois là ! Je sais, je lui dirai que c'est ma femme qu'est partie et que ... enfin je verrai.. Bon ben, qu'est ce qu'elle fout là ?
-"Oh ben te vlà déjà Martine ! Non non je n'ai pas attendu, mais entre et installe toi, tout est déjà prêt pour nous .... "

(souhaitez moi bon courage )


pardon à toutes les Martine
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mecplus de Saint-malo

#17
mecplus de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 15:20
Laurent, je te souhaite bon courage avec Martine. Pourvu que tu ne tombes sur une emmerdeuse, autoritaire, égoïste, capricieuse... etc.
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malaurjo de Saint-malo

#18
malaurjo de Saint-malo , 30 Jui 2010 à 23:39
ah mais non là Alain, tu parles du passé..
Mais c'est décidé : du passé, faisons table rase ..
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malaurjo de Saint-malo

#19
malaurjo de Saint-malo , 31 Jui 2010 à 00:05
Alors puisque vous insistez (hum !) je poste la suite ..

Martine : quel coup (2)

Nous sommes reçus par un serveur de ce restaurant un peu chicos ? ah ben ouais, y faut c?qu?il faut !-
Il nous demande : « une table pour combien ? » comme si ça ne se voyait pas, j?lui réponds, « ben, pour deux, on n?attend personne, j?ai réservé. Paul Mathivet».
Il nous emmène dans le fond du restaurant à une petite table près des portes de cuisine, nous désigne la table et dit : « c?est ici »..Je lui demande s?il n?y a pas moyen d?être un peu à la lumière, et que bon, c?est important quoi, j?ai des trucs à dire et à négocier, je lui fais un clin d??il. Il me regarde d?un air con, il me dit : « ah non monsieur, ce soir nous attendons un groupe et ça ne va pas être possible ! ». « Faites au mieux, quand même, y?aura un pourboire » lui dis-je. Je pensais : « ben dis donc, ça commence bien. Qu?est ce que va penser Martine »
Justement Martine commençait à reluquer sérieusement un blond du foutu groupe qui venait d?arriver, et qui, comme c?était parti, allait nous causer des problèmes, enfin j?veux dire, ME causer des problèmes.
Je dis à Martine : « ça te plait, comme cadre. Avec ce groupe ça va p?têtre être bruyant, tu veux vraiment rester là ? » et là je lui ai sorti mon regard de chien battu façon st Bernard.
A côté ! complètement !! Manifestement, elle avait une autre idée en tête, pas de pot pour mon rôle de composition, elle ne m?a pas regardé à ce moment là. Elle me répond « Ah nan, y sont sympas, regarde ? y sont de notre âge, ça va sûrement être marrant. Oh et pis tant pis si ça fait un peu de bruit, ça sera plus sympa. » Dit-elle avec une voix un peu trop aigüe, vu qu?on avait encore rien bu !

Bon, je me dis : « la ça va être coton, comment je fais ? Je laisse tomber tout de suite ou je poursuis » J?étais à moitié désespéré.
Mais Martine choisit une petite table sur le côté, pas loin de la porte et s?installe. Le serveur vient vers nous : « ah non pas là, c?est la place de monsieur et madame Dumont, qu?est ce que je vais leur dire ? », dit il d?un air qui appelle un supplément de pourboire !
Et Martine qui répond : « ah, ils ne viendront pas ce soir, ils ne viennent pas tous les soirs quand même, et puis bon, vous pouvez les mettre à côté, et puis Paul a réservé. »
« Merde, qu?est ce je dis ??? C?est à moi de causer, là ! » Me pensais-je
- « Bah oui, enfin tout de même, ça fait quatre jours que je vous ai réservé, on peut se mettre là quand même, y?a encore personne dans votre salle, vous zallez pas me dire que cette salle va se remplir ? »
Le Serveur n?a pas insisté, il nous a laissé nous installer mais son regard laissait entendre que le service allait être moyen moyen.
En fait, je venais de comprendre que Martine s?était installé derrière mais juste en côté du petit rigolo blond qu?elle avait reluqué lorsqu?il était entré. De cette manière là, dès qu?elle tournait la tête vers la gauche, elle l?avait en plein cadre.
Oh la la quelle catastrophe, comment je vais m?en sortir ?
Là j?ai fulminé, j?étais prêt à arracher la nappe et à la manger, à provoquer l?autre en duel, et à lui casser la gueule, le jeter hors du restau ? Fallait que je me calme !

-« Si on prenait un apéro ? » que je lui dis à Martine. Qu?est ce tu prends ? » Whisky, gin, Rhum, Vodka ? ».. Je parlais un peu trop vite et en mangeant les mots?
-« Oh non, c?est trop fort pour moi, je travaille demain moi, pas toi ? » qu?elle me répond.
- "Bon alors, un kir ?"
-« Ah oui, un kir mais avec du champagne »
Glupps, « bon ben si tu veux » lui dis je avec un petit peu de sueur sur le front, je n?avais pas prévu exploser mon découvert dans ces proportions là..
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malaurjo de Saint-malo

#20
malaurjo de Saint-malo , 01 Aoû 2010 à 10:01
Devant l'enthousiasme général , je n'hésite plus et je poste le troisième volet de la série Martine..
Toute ressemblance avec ma copine Martine est bien entendu complètement déplacée, il ne s'agit de Martine in the real life mais de Sophie (hum, pardon Sophie ! )

comment emballer Martine : la leçon !(3)

Le serveur part avec la commande. J'ai fait simple, en entrée une quiche aux oignons confits, et en plat un travers de porc confit dans son jus avec des pommes frites, on verra pour le dessert... Je ne sais pas ce qu?a pris Martine, elle s?est plongée tout de suite dans la partie des pages vertes du menu et elle a commandé à voix basse au serveur. Jusqu?à présent, on ne s?est pas encore beaucoup causé, ça va être dur, je le sens, enfin on verra bien, je me rattraperai quand les plats nous seront amenés.
Les apéritifs nous sont vite servis. Songeuse, Martine prend son kir, le porte à ses lèvres, repose le verre devant son assiette, met ses coudes sur la table, me regarde et tourne aussitôt sa tête à gauche, et là elle sourit. Je tourne la tête évidement et je surprends le blondin de tout à l?heure qui lui fait un clin d??il et la regarde d?un air de b?uf assoupi. Il m?énerve celui-là !
« Qu?est ce que tu penses de ce restaurant ? Demandai-je brusquement, « tu es déjà venue ici ? avec ton mari peut être ? »
A ces derniers mots, Martine tourne la tête et me fusille du regard : « Ah, ne me parle pas de mon EX, il est bien là où il est, qu?il y reste. D?ailleurs, y?avait pas de danger qu?il m?emmène dans un restaurant, radin comme il était ! ».
« Ah oui, vraiment ! » répondis ?je embarrassé, « et donc tu es peut être venue avec des collègues ? » Insistais-je.
« Mais non je ne suis jamais venue dans ce restaurant auparavant ! Qu?est ce qui te fait penser le contraire ? » Dit-elle d?un air pincé.
« Heu, je croyais que tu connaissais les lieux, » dis-je un peu à bout d?argument.
Il s?en suit un grand blanc dans la conversation. En plein questionnement, je me demande pourquoi Martine a accepté cette invitation, je me dis que je perds mon temps avec elle, et aussi mon argent.
« Comme ça, tu habites au domaine du Vallon ? C?est un drôlement chouette quartier, il n?y a que des bourgeois par là ? » Me dit ?elle en relançant la conversation.
« Bah, n?exagérons rien, bourgeois, c?est vite dit, disons, des gens qui gagnent bien leur vie, c?est un lotissement quand même, ce ne sont pas des personnes fortunées » m?excusai-je presque.
« Ben oui, c?est bien ce que je dis, des bourgeois, il y a bien le docteur Maurer et puis un gynécologue, Maxence, non ?, et puis un avocat et un notaire. »
« Heu, oui, c?est ça, je vois que tu connais bien les habitants du quartier, tu habites dans les environs ? »
Martine ne répond pas. Le serveur arrive, dépose la quiche devant moi et dépose une assiette avec des agrumes jaunes et oranges, une feuille de salade et des bouts de poissons devant Martine.
« Qu?est ce que tu as pris ? »
« C?est un duo de pamplemousse et d?Orange à la chair de crabe, c?est très diététique et très frais et ça ne fait que 130 calories »
« Ah, oui, ça ne va pas être trop léger ? »
« En fait je me demande si je n?ai pas trop commandé avec le plat. Je ne mangerai peut être pas tout, j?espère que tu ne m?en voudras pas ?»
C?est bien la première parole aimable qu?elle m?adresse. J?en ai presque laissé tomber ma fourchette.
La suite du repas se passe beaucoup plus agréablement. Martine me sourit désormais et ne regarde plus l?autre idiot à sa gauche. Elle est belle, elle ressemble à une actrice française des vieux films. Son côté un peu mystérieux peut être.
Enfin les plats arrivent. Elle a pris un bar sauvage grillé avec du coulis au curry, émincé de poireaux et avec des asperges. Elle me dit en riant que ça ne fait que 200 kal mais que ça lui fait tout de même trop à manger. Elle me propose de terminer son assiette.
C?est drôle maintenant, la glace est rompue, on est copains comme cochons. Mon charme a du agir. Je lui proposerai tout à l?heure d?aller prendre un peu l?air. Avec la pénombre, j?arriverai peut être à l?embrasser.
Je sens que je tiens le bon bout là. J?ai bien une boite de préservatifs à la maison ? Oui, c?est bon, elle est à côté des brosses à dent.
Alors maintenant, il va falloir conclure, j?ai bien mené mon affaire.

GXagere de Saint-malo

#21
GXagere de Saint-malo , 01 Aoû 2010 à 15:50
Je vais vous raconte un petit fait troublant qui à commencé hier soir...

Est ce un signe ?????

J'étais avec un ami au tel, puis je raccroche, me dirige vers la fenêtre de mon appart pour la fermer, quand je vois un pigeon plutôt joli, blanc avec la queue noir, bref...pas farouche j'approche ma main et il ne bouge pas et me regarde...Alors je le prend en photo de suite car j'avais encore mon portable a la main, je venais de raccrocher, puis je rappel mon copain pour lui dire, c'est trop fort j'ai un pigeon tout mignon devant moi, etc.....et il me dit c'est peut être un pigeon voyageur!
Alors je regarde ses pattes et il avait sur la patte droite une bague numérotée, et a gauche un petit papier roulé autour de sa patte avec un un petit fil rouge entouré pour tenir le message....
Trop fort !!! mon pote me dit va z y, attrape le et prend le message.....
Je pouvait lui toucher les pattes, il n'avait pas peur..
Je décide de raccrocher le tel pour l'attraper à deux mains, mais non! il n'a pas voulu se laissé attraper et est entré dans mon salon, puis c'est accroché dans un premier temps sur une traverse de la fenêtre d'à côté à l'intérieur du salon. J'essai de l'attraper de nouveau, et la il va s'accrocher sur le rebord d'un tableau que j'ai ramené du Maroc peint par une personne très connu au Maroc ( ancien peintre du Roi)qui est devenu un ami au cours de plusieurs séjours répétés au Maroc.
Bref, j'essai de l'attraper encore une fois, je rate et là, il trouve là fenêtre toujours ouverte et s'enfui dehors se pose sur une cheminée, juste en face de ma fenêtre de l'autre côté de ma rue et me regarde....il est tard, je l'appelle, mais en vain....
Je lui met quelques miettes de pains sur le rebord de la fenêtre, un peu d'eau, et je me dis que peut être il reviendra, afin que je puisse lire ce message.....
Je pars me coucher,j'ai mal à m'endormir, je reviens dans le salon de temps en temps, la fenêtre ouverte, il est toujours en face, sur cette cheminée....Je vais me recoucher dans l'espoir que demain matin il serait peut être encore là...
Après une nuit remplie de rêves, je me réveille, et évidement la première chose que je fais, c'est d'aller voir si il était toujours là!..........Et bien, non!!! nul part......
Bref, je vais chercher une amie à la gare qui vient passé quelques jours à la maison, puis nous allons nous balader, manger, etc...Nous rentrons à la maison vers 15h, elle va se reposer, et moi je consulte mes mails tranquillement, quand je tombe sur un mail où l'objet du mail est:

" Un événement grave est arrivé, PASCAL"
(oui, mon prénoms usuel, c'est Pascal...)
Alors surpris, j'ouvre le mail et voilà le début du mail:

___________________________________________

Chère PASCAL,

Vous le savez, voici des jours et des jours que ma Force-Pensée est tournée vers vous. Vos émotions, vos doutes, vos espoirs... j?ai partagé tout ce que vous avez ressenti au plus profond de vous-même.

Or vous avez provoqué un événement grave, hier. Je dis vous, car je sens que votre mépris des signes du Destin a peut-être fini par lasser certaines Forces Astrales.

VOICI CE QUI S'EST PRODUIT A 23H23 EXACTEMENT:
(c'était écrit en bleu et en très gros caractère!)

Un vide immense et glacé s?est installé en moi, très brutalement. Tout semblait pourtant aller normalement...et j?ai compris : je venais de perdre le contact avec vous, vous AVIEZ DISPARU.

J?ai eu soudain très peur pour vous, comme si la bénédiction du Ciel qui devait vous accompagner ces tous prochains jours avait été annulée, effacé d?un coup de chiffon....
Etc...
__________________________________________________________

Je vous mets pas tout le message qui est long, car c'est une proposition de voyance gratuite......
Jusqu'à là, rien de spécial, quand tout à coup je me dis:
Je vais regarder la photo que j'ai prise, mais surtout l'heure à laquelle je l'ai prise....
Bas je regarde la photo, et je vois qu'elle a été prise
à 23h23.....Voilà...

Donc j'ai rempli le formulaire pour une voyance gratuite, car là je pouvais pas faire autrement!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Alors, signe du destin? Coïncidence? Je ne devais pas lire ce message apporté par ce voyageur?

Je vous dirais ça.....

à suivre.......

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