Concours de bêtise humaine

Je trouverais dommage de faire un fil unique Ted...les sujets abordés sont tellement différents...

Signé également, merci pour l'info Ewa

Oui, en fait u as raison, je trouve

J'ai retenu cette photo >
http://static.hitek.fr/img/actualite/w_haine.jpg

Pourquoi ce regard de haine de la part du sinistre Goebbels ? Devinez, la réponse est ci-dessous... >

http://hitek.fr/actualite/15-photos-reg … sants_3267

Et n'hésitez pas à découvrir d'autres regards sur la page.

Très impressionnantes images !!!
Une très connue pour avoir parcouru la toile en tous sens, ce regard vert et saisissant de l'orpheline Sharbat Gula..

Mais que dire du dernier juif de Vinnitsa?
une chose m'a saisie, il ne regarde pas ses "compagnons d'infortune" qu'il va rejoindre au fond de la fosse, mais plus haut, en face de lui...
peut être la dernière image qu'il a voulut graver dans sa tête?

L'enfant aux yeux de Saphir est surprenant de beauté et ses yeux bleus sont saisissant tant ils sont inattendus et à l'opposé des lois de la nature..

Et que dire de Harold Whittles?
Incroyable et extraordinaire découverte pour lui que d'entendre des sons..

Tout cela est magnifique..

Merci pour ce partage!

Et ce sont ces mêmes photos que l'on regarde aux infos télévisées tout en prenant son repas en famille, tranquillement installé...y'a pas à dire, je ne m'y fais pas...

Ps: je ne remets pas en cause le forum ni ce qui a été dit. Mais il m'est impossible de dîner au chaud et à l'abri tout en regardant ces images insoutenables, ça me semble indigne et provoquant. Mais ce n'est qu'un avis perso, désolée.

Respect pour ce que tu ressens, Nadine. Pas de souci.

http://www.sudouest.fr/2014/08/03/filme … 8-4803.php

Pourquoi ? Pourquoi...

La cruauté humaine n'a pas de limite...il faut être malade!

J'en pleurerais de rage devant tant de connerie.

La cour d'appel d'Angers se prononce mardi sur les propos qu'avait tenus l'été dernier le député-maire (ex-UDI) de Cholet (Maine-et-Loire), Gilles Bourdouleix, estimant qu'Hitler n'avait "peut-être pas tué assez" de tziganes.

Une amende de 750 à 5.000 euros avait été requise en avril dernier contre l'élu, poursuivi pour "apologie de crime contre l'Humanité".

M. Bourdouleix avait été condamné en première instance, en janvier 2014, à une amende de 3.000 euros avec sursis alors qu'avaient été requis une peine de 6 mois de prison avec sursis et une amende de 5.000 euros.

Le député-maire de Cholet avait cependant fait appel du jugement, s'estimant innocent au regard du contexte dans lequel ces propos avaient été tenus.

L'argument -- le contexte particulier -- avait aussi été relevé lors de l'audience devant la cour d'appel par l'avocat général Olivier Tcherkassof dont les réquisitions avaient été plus clémentes qu'en première instance.

L'avocat général avait toutefois dénoncé "un dérapage verbal intolérable".

Le 21 juillet 2013, au cours d'une altercation sur un terrain agricole de sa commune occupé illégalement par plus d'une centaine de caravanes de gens du voyage, l'élu, cible de saluts nazis et d'accusations de racisme, avait glissé à un journaliste "qu'Hitler n'en avait peut-être pas tué assez".

Rapportés le lendemain par le quotidien régional Le Courrier de l'Ouest, ces propos avaient créé un tel tollé en France que M. Bourdouleix, maire de Cholet depuis 1995 et député depuis 2002, avait été contraint de quitter l'UDI.

"Cette phrase est extrêmement maladroite mais il l'a marmonnée sans s'adresser à personne", avait assuré le défenseur de l'élu, Me Pierre Brossard, devant la cour d'appel.

De leur côté, les avocats de neuf associations et organisations parties civiles avaient demandé au minimum la confirmation de la sanction prononcée le 23 janvier en première instance.

"Les propos qui ont été tenus sont graves et la loi doit s'appliquer", avait soutenu Me Ivan Jurasinovic pour la Ligue des droits de l'homme.

M. Bourdouleix encourt une peine de cinq ans d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende.

L'élu a de nombreuses fois fait parler de lui pour son hostilité à l'égard des gens du voyage. En 2006 il avait lancé une pétition à destination des 36.500 maires de France, réclamant que ces élus aient autorité pour obliger la police nationale à intervenir en cas d'occupation illégale.

L'horreur absolue :

VENDÉE Décès d'une fillette : la mère mise en examen pour meurtre et tortures

La mère d’une fillette de 4 ans retrouvée morte lundi à son domicile en Vendée a été mise en examen pour meurtre et actes de tortures ou barbarie sur mineur de 15 ans et placée en détention provisoire, a indiqué le parquet de La Roche-sur-Yon.
Le compagnon de la mère a été mis en examen pour actes de torture ou de barbarie sur mineur de 15 ans et placé lui aussi en détention provisoire depuis hier. Il a aussi été placé sous le statut de témoin assisté pour le meurtre.
Le corps de la fillette, décédée dimanche à Saint-Georges-de-Pointindoux, une commune située à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de La Roche-sur-Yon, présentait des brûlures au deuxième degré sur 30% à 35% de sa surface, a indiqué mercredi après-midi dans un premier communiqué le procureur de la République de Vendée, Hervé Lollic.
Un bouquet de fleurs, deux roses blanches et un ours en peluche étaient posés jeudi matin au pied de la porte de la petite maison en pierre aux murs usés, située le long d’une route passante, où a été retrouvée la victime, a constaté l’AFP.
La mère, arrivée dans la région le 15 août en provenance de Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), a reconnu en garde à vue avoir étranglé sa fille, mais «elle réfute cependant avoir voulu (lui) donner la mort», indique le procureur dans son communiqué.
L’autopsie a aussi mis en évidence «de nombreuses traces de coups» en divers points du corps et des morsures, «au vu des traces très marquées qui subsistent».
Des cheveux ont été arrachés en plusieurs endroits et ces violences ont été commises sur une durée d’environ sept jours, a précisé le procureur.
«Les coups sont reconnus par la mère et son compagnon qui les justifient par la turbulence et les désobéissances multiples de la fillette», selon M. Lollic, qui ajoute qu’ils «se rejettent la responsabilité des brûlures, provenant selon eux, de douches brûlantes données par punition».
La mère a également reconnu avoir puni sa fille en la mordant.
Le père de la fillette, qui demeure en Charente-Maritime, a indiqué au parquet que la mère l’avait quitté quand l’enfant avait 18 mois. Depuis, il avait du mal à voir régulièrement sa fille, a-t-il également déclaré au parquet.

No comment.
Oh et puis si : proviseur, si cette histoire est vraie, je t'aime point.

Une lycéenne atteinte d'une pelade aimerait cacher sa chute de cheveux en portant une casquette, une mesure qu'a refusé son établissement scolaire, situé à Perpignan.

Depuis lundi 15 septembre, un conflit oppose une élève et la direction du lycée Aristide Maillol de Perpignan. La jeune fille de 17 ans a demandé l'autorisation de porter une casquette pour masquer sa pelade, une maladie qui provoque la chute de cheveux par plaques entières.

Le proviseur de l'établissement a refusé, invoquant le règlement intérieur. Une réunion est prévue jeudi 18 septembre avec la famille à l'inspection académique.

Myriam, 17 ans, qui souffre d'une pelade depuis sept ans, portait des bandeaux depuis son arrivée au lycée, en 2012. Mais la chute de ses cheveux étant de plus en plus importante, cette solution ne lui suffisait plus.

Elle a donc effectué sa rentrée avec une casquette, mais le port de cet accessoire "ne reçoit pas, comme dans beaucoup d'autres établissements scolaires, un accueil favorable" et est interdit par le règlement intérieur, a expliqué le proviseur Joël Mallenguery.

L'accès au lycée lui a donc été refusé lundi, et elle n'est plus allée en cours depuis. Le même jour, près de 200 élèves ont organisé un sit-in dans la cour du lycée en soutien à Myriam et une réunion s'est tenue entre le principal et les représentants élus des parents et des élèves.

Comment peut-on travailler dans l'enseignement, et être aussi peu pourvu d'humanité?

Oui, hein ?

Cela ne relève plus de la bêtise humaine à ce niveau...
Mais d'une cruauté sans nom