J'adore les bonnes nouvelles, ça fait sourire :-)

Bonjour Sergio,
C'est pas que (certains) français soient lents qui me casse un peu les oreilles, c'est le fait que trop souvent (les mêmes) pensent avoir tout créé et ce, le plus sérieusement du monde.
(je ne considère pas que nous soyons meilleurs mais dans notre histoire nous n'avons jamais envahi personne en Europe et nos médias font pareil).
Pas plus tard qu'il y a 2 jours dans "envoyé spécial" dans le cadre d'un reportage enregistré (donc modifiable) le journaliste affirmait très très sérieusement: "ces femmes sont exploitées 7 jours sur 7 et parfois plus".
Et voilà sur "truc 2" que l'on invente la semaine des 8 jours et plus
"Une fois" trop forts les mecs.....
Bon soleil, bon pastis et à votre santé

Y aura t'il une prise de conscience ???
J'ai envie d'y croire, et je remercie Louise/Paresseuse de m'avoir envoyé ce lien...

http://www.mediapart.fr/article/offert/ … e35661c960

(...) D'abord en termes de pédagogie politique : oui, il faut expliquer et expliquer encore que notre devoir est d'accueillir des populations fuyant des guerres dont nous sommes souvent les acteurs et que ces solidarités sont au cÅ“ur du projet européen. Ensuite en termes de méthode : plutôt que des camps de tentes et des inspections de troupes, le gouvernement devrait inciter et aider les collectivités locales à construire des politiques efficaces d'accueil et d'insertion. Enfin en termes de capacité : oui, la France est en mesure d'accueillir des dizaines de milliers de réfugiés. C'est ce qu'elle a fait tout au long de son histoire, avec succès et bénéfices. (...)

Si la Syrie était la France, 32,5 millions de personnes auraient été déplacées par le conflit :
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/09/01/si-on-rapportait-les-chiffres-du-conflit-syrien-a-la-france_4742507_4355770.html

Heureusement qu'après avoir inventé l'eau chaude LA France innove avec la semaine de 8 jours ! Merci Claude, elle est, malheureusement, excellente

Crise des réfugiés, l'hypocrisie française, l'exemple allemand :
http://www.mediapart.fr/article/offert/23431d38a5ea1260368f01e35661c960

Philippe, tu lances un intéressant échange d'idées.

Je me demande pour quelles raisons autres qu'économiques l'Allemagne est, elle, si "ouverte" ?
Elle qui cadenasse la Grèce serait-elle prête à la générosité pour les Syriens ?
La Syrie n'a pas été financée et ceci pèse énormément.
S'engager en Syrie coûterait tellement plus cher !
Ne deviendrait-elle pas un autre Vietnam ?

L'Allemagne manque de main d'oeuvre (bon marché, s'entend).
Son taux de natalité de nationaux est en baisse constante (est-ce le signe d'un grand optimisme pour l'avenir ?).
Elle a "absorbé" l'ex RDA car la main d'oeuvre était faiblement qualifiée et sous payée.
Dès lors que cette population a vu son niveau s'élever l'Allemagne a besoin d'une forme de nouveau carburant (main d'oeuvre bon marché) pour éviter la délocalisation de ses entreprises et pour satisfaire ses besoins.
Selon moi c'est au prix d'une flexibilité et de salaires au plus bas - facteurs que l'autochtone n'acceptent pas - que l'Allemagne et l'Autriche acceuille plus de migrants. (salaire d'un commis de cuisine à Salzbourg = 350€ mensuels pour 20 jours de prestations).
Cette politique de paupérisation des couches les moins favorisées n'est-elle pas le moteur qui est imposé aux Grecs ?
Les déficits des budgets (le belge par exemple) ne va-t-il pas tôt ou tard nous placer sous le même type de régime ?
J'imagine que la France (paraît-il gouvernée à gauche) ne peut s'engager dans ce type de politique.
Et votre extrême-droite est l'autre branche de la tenaille.

Je ne peux donc pas encenser l'Allemagne et ne pas comprendre la France.
En l'espèce - et une fois encore - je marque mon désaccord avec le modèle d'information (sic) développé chez vous.
Ce n'est pas du journalisme.....c'est du grand n'importe quoi pour vendre un canard.

C'est mon regard.....partiel ou partial....celui d'un migrant de passage lorsqu'il vient goûter au bonheur de l'eau chaude, du vin, des produits du terroir et du patrimoine.

En vacances dans le nord, je suis passée près de Calais et vu ces migrants...ça m'a serré le coeur. J'étais accompagnée par des amis Boulonnais et Calaisiens, investis dans les associations locales d'accueil et nous avons, bien sûr partagé nos points de vue sur ce drame humain.
Selon eux, en dehors de l'urgence d'accueil et de logement des migrants (eh oui, c'est aussi un appel d'air qui profite aux passeurs relevant de la mafia et disons-le carrément, du trafic d'êtres humains), il faudrait prendre des mesures intelligentes, en accord avec les pays européens:
1- selon les desiderata des réfugiés qui pour la plupart souhaitent rejoindre leur famille au Royaume Uni par ex et non prendre en compte le pays d'arrivée pour la délivrance de la carte de séjour
2- agir à la source en s'attaquant à la criminalité (réseaux de mafieux pour qui les êtres humains ont moins de valeur que les armes)
3- aider les pays concernés à enrayer l'islamisme de manière à éviter la fuite massive des populations
4- enfin, orienter les réfugiés (avec leur accord) vers les pays en recherche de main d'oeuvre (mais d'accord avec Claude qui soulève une politique de paupérisation)

Et pour clore avec une note de douceur, un petit coucou aux gens du nord ainsi qu'aux Belges qui habitent une région magnifique et dont l'accueil est à la hauteur de leur réputation l'architecture m'a bluffée, les chocolats et les frites sont un vrai délice! par contre,je n'ai pas testé la bière que je ne peux avaler...désolée pour cette offense

- " Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire." Albert Einstein

à côté des compliments que tu adresses aux nordistes c'est cette citation que tu reproduis sur ton profil qui m'a plu.
Tu as été témoin et tu réagis, quoi de mieux ?
L'idée de leur permettre de rejoindre le pays où ils ont déjà de la famille est une piste qui serait à creuser.
J'y vois néanmoins un problème car les pays qui ont TOUJOURS eu une politique de rejet seront indirectement "récompensés".
A mes yeux le moins suspect des critères pour les répartir est le nombre de citoyens.
Exemple : 1 pour mille habitant
Belgique 11 millions = 11.000
ou autre critère via le revenu moyen par habitant puisque tous les pays d'Europe (laquelle ?) n'ont pas le même niveau de développement.

Les solutions nous n'avons pas le "pouvoir" de les proposer ou de les initier.
Ne nous reste que le pouvoir de sanctionner par le vote ceux qui développent des idées contraires à nos idéaux de Liberté, d'Egalité et de Fraternité.
Belles valeurs dans les gènes de la France.
(ne dites plus que je ne sais pas vous bien parler, une fois !)

Pour la bière, t'inquiète pas....
Tout le monde ne l'aime pas forcément et comme le vin elle doit se découvrir et surtout.......se consommer avec modération ! (fin de leçon)

Que vous soyez à Quimper, Nice, Bordeaux, Gap, Vannes ou Dieu sait(Saix) où, vous nous faites rêver!
Merci pour ce cadeau

Olympe,
Je voudrais corriger un oubli, une omission, une erreur.
Celui ou celles, ou les trois à la fois de ne pas t'avoir associée à mon commentaire à Philippe.
Sincèrement désolé.
Claude

Haaaaaaaa! Mais qu'est-ce que çà fait du bien à mon petit coeur de vous retrouver
Vous m'avez manqué tiens!

Sans rire, bel échange, réflexions très intéressantes.. merci


Et pour rire ... non sérieux .. évidemment qu'il est interdit de se garer près d'un passage pour piétons, tout comme à l'extrémité d'une rue .. et autres .. et çà ne date même pas du temps où mon grand-père a passé son permis de conduire

Ah! Ces chers amis français qui pensent tjs avoir inventé l'eau chaude !


Claude, je pense que tu es qd même un peu sévère .
Il est vrai que souvent, nous apprenons aux divers JT français la prise de mesures qui existent chez nous depuis la nuit des temps.
Mais parallèlement, nous sommes à la traîne aussi ds bien des domaines..
Les Canadiens ont qq dizaines d'années d'avance sur nous ds le domaine psy par exemple, et les Scandinaves ont bien des leçons à nous donner quant à un "mieux vivre ensemble" (accès aux lieux publics pour handicapés, système scolaire ..)


Ceci dit, je viens de passer d'excellentes vacances en presqu'île de Crozon, ma-gni-fi-que Bretagne!
Quel beau pays vous avez là!

signé: une petite Belge qui n'aime pas la bière (coucou Noisette ), mais qui ne dit jamais non à un petit blanc/rosé/rouge ..

(ne pas biffer la mention inutile, il n'y en n'a pas ..)


Bisou liégeois à tous

Je noyais mon chagrin dans la bière,

Car en ton absence tout était devenu si laid,

...

Que me font ces Wallons ces palais ces chaumières,

Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?

Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,

Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Marianne ! Marianne ! Marianne !

Merci Sergio, mais c'est trop, çà me gêne ..

Pas de souci Claude et... tu peux m'appeler fLO

Bon, enfin pour ce qui est du topic lancé par l'ami Daniel, et bien les bonnes nouvelles qui font sourire, ne sont pas légion...
Je vais donc bien me garder du sujet qui brûle partout et qui porte un prénom tout mignon, n'est-ce pas

Gardons le plaisir de Sergio de retrouver Marianne ici
Ça c'est une vrai "jolie" nouvelle


Bisous de Bruges, (en France)

Dans tout ce qui se passe actuellement et qui est infiniment tragique, je crois qu'il faut être caricatural, simpliste, il faut l'être. Ne pas trop réfléchir.
Nous voyons des choses horribles se passer sous nos yeux, des choses qui ne devraient pas être. Le pourquoi du comment importe peu, dans l'immédiat, je crois.
Il y a des migrants qui essaient de sauver leur peau, ou qui essaient de vivre un peu mieux.
Je ne sais plus qui a dit qu'on en revenait à ces histoires de réfugiés qui fuyaient les nazis. C'est bien de ça qu'il s'agit. Comme les espagnols en 36, comme... plein d'autres.
Que faire d'autre que les accueillir, que faire d'autre ? Il n'y a pas de choix multiples.

Face à une situation complexe, il n'y a qu'une réponse simple. Positive.

http://accueilrefugies.wesign.it/fr

"Depuis des mois, des vagues de plus en plus gigantesques de femmes, d'hommes, d'enfants viennent se briser sur les rivages d'Europe. Sur nos frontières, étanches. Tous ces humains ont fui la terreur, la mort. Tous ces humains ont rassemblé ce qu'il leur restait de forces, d'espoir, pour marcher droit devant, un enfant dans les bras, sauver leur peau, la vie des leurs.
C'est simple une tragédie, un jour, on est tranquilles, le lendemain, on est pris dans un ravage. Le monde comme il va, prédateur, cynique, perdu, les a pris dans son ravage, ceux-là qui hurlent en cognant à notre porte « aidez-nous ! ». C'est simple, ils vont mourir si on ne les aide pas. Et nous ne les aidons pas.
Les grands mouvements de « migrants », qu'on le veuille ou non, ne s'arrêteront pas. Nous le savions. Ils sont là. Laisser mourir les gens en détournant les yeux ne peut pas être un projet politique, constituer une ligne de gouvernement. Les accueillir suppose de construire pour le pays et pour le monde un autre projet. Un projet où l'humain soit au centre.
Alors nous vous le disons simplement : nous voulons accueillir les réfugiés. C'est notre devoir d'humains, de citoyens. C'est le devoir de nos élus de mettre en Å“uvre cet impérieux élan d'assistance. Nous ne supportons plus, comprenez-vous ? Nos sÅ“urs, frères en humanité nous appellent à l'aide et nous ne supportons plus le silence qui leur répond.
Nous voulons accueillir les réfugiés parce que c'est normal. Parce qu'il n'y a pas d'autre position digne. Il y a urgence absolue.
Il faut dès à présent recenser tous les hameaux désertés, les lieux de vie à l'abandon, toutes les associations partenaires, toutes celles et ceux prêts à ouvrir leur porte et à retrousser leurs manches. Il y en a, beaucoup. C'est à nos élus de les rassembler, d'en faire un ensemble cohérent et efficace.
Ne pas le faire serait se ranger du côté de l'indifférence, et pire, serait renforcer ceux qui encouragent le repli, la méfiance. Ce serait renforcer ceux qui font leur fond de commerce politique avec la haine de l'autre. Nous en serions toutes et tous comptables.
Nous voulons accueillir les réfugiés, nous devons pouvoir compter sur nos élus pour le faire avec nous."

Evidemment il faut agir,que ce soit au niveau individuel et-ou collectif mais comme l'a dit Claude très justement, nous n'avons pas grand pouvoir sauf celui de nous manifester aux urnes. Heureusement, ça commence à bouger...s'il n'y avait eu la photo de ce petit enfant échoué sur la plage pour remuer les consciences, qu'en serait-il aujourd'hui? la frilosité de ces pays dits démocratiques me révulse...
@ Daniel: "le pourquoi du comment" importe au contraire car en dehors de l'urgence à gérer, il semble impératif de se pencher sur les causes de ce désastre humain pour en déraciner le mal. C'est juste un avis personnel, ne le prends pas mal.
@ Marianne: oui oui, la Bretagne est belle, merci de le dire,ça fait plaisir par contre la météo est parfois capricieuse...c'est tonifiant, fortifiant et vivifiant (allez, un peu de chauvinisme ne fait pas de mal)

Bien sûr que non, Nadine, je ne le prends pas mal, c'est une discussion, un débat.

Sur le fond, je pense que tu mélanges deux temps, deux allures. Il y a d'abord le temps de l'urgence, c'est celui dont je parle, puis le temps de la construction profonde, efficace, sur le long terme qui part des sources du problème. Malheureusement, trop de politiques se sont cachés derrière ce second argument pour ne pas agir dans l'urgence, au bout du compte. Le genre "on va faire une commission qui va nommer une commission...".
Là, ça urge, ça fait quand même déjà quelques années que des être humains sont rejetés par les vagues sur les plages.

Bonjour à toutes et à tous,
Vous êtes la "bonne nouvelle, celle qui fait sourire".
Quelques personnes disséminées qui échangent et partagent dans le respect de l'autre et ouvertes à l'autre, c'est du pur plaisir.
Vos réactions me font penser à un temps que j'ai connu à défaut de l'avoir vécu.
Lors de l'invasion de la Belgique en 1940, ma grand-mère, ma mère et ses frères et soeurs (10, 3 et 1 an) ont fui vers la France. Ils ont été recueillis par la famille d'un modeste policier de Laon.
Un gardien de la Paix.
Appellation oh combien symbolique et authentique !
Ils vivaient à l'étroit dans une petite maison. Ils se sont serrés et ont tout partagé.
Monsieur et Madame Cuvelier, je n'étais pas né que vous m'avez permis d'apprendre ce que le mot "fraternité" voulait dire.
Après la guerre j'ai passé des vacances inoubliables chez vous. Vous saviez partager ce que vous aviez et ce que vous saviez (le jardin et la basse-cour qui nourrissaient, le plaisir du temps partagé à table (et le vin !), les beautés de la cathédrale et de la ville.
Vous m'avez marqué durablement.

C'est des français de cette trempe et cette France là que j'aime.
Je la retrouve dans vos réactions.

Si dans nos grandes villes les personnes qui proposent des chambres (airbnb ou bedycasa) mettaient leurs chambres à disposition pour un temps, si les églises, couvents, monastères, collèges (de toutes religions) servaient de refuge, si les écoles de tous niveaux prenaient les enfants en charge, si les taxis acceptaient de faire des courses gratuites, si la RATP offraient des "pass", si les restaurants offraient chaque jour 1 table, si les hôpitaux soignaient, logeaient et nourrissaient quelques migrants, si les invendus alimentaires étaient offerts et non pas jetés, si les médias faisaient de la télé-réalité en lançant de grandes opérations d'entraide, si.......

La liste peut s'allonger.....quasi à l'infini.
C'est après avoir épuisé ces ressources que nous pourrions demander à nos politiques,......
en ces temps où étiez-vous, où dormiez-vous, que faisiez-vous ?
Il faut prendre le temps et les mesures pour finir ces guerres (comme ce fut le cas en 1940) et ensuite construire un avenir pour ces populations dans leurs pays (comme ce fut le cas en Europe).
A ces conditions nous aurions fait oeuvre utile pour l'Humanité.

J'y crois...

petite correction : lire "mes" frères et soeurs

Vous pouvez télécharger "L'empire de la honte" en pdf sur We transfer avec le lien suivant :

http://we.tl/wUBMZFlMT3

Disponible jusqu'au 13 septembre

Introduction
"Nous assistons aujourd'hui à un formidable mouvement de reféodalisation du monde. C‟est que le 11 septembre n‟a pas seulement été l‟occasion pour George W. Bush d‟étendre l‟emprise des États-Unis sur le monde, l‟événement a frappé les trois coups de la mise en coupe réglée des peuples de l‟hémisphère Sud par les grandes sociétés transcontinentales.
Pour parvenir à imposer ce régime inédit de soumission des peuples aux intérêts des grandes compagnies privées, il est deux armes de destruction massive dont les maîtres de l‟empire de la honte savent admirablement jouer : la dette et la faim. Par l‟endettement, les États abdiquent leur souveraineté ; par la faim qui en découle, les peuples agonisent et renoncent à la liberté.
Cette formidable machine à broyer et à soumettre ne supporte plus aucune des limitations que le droit international prétendait traditionnellement imposer aux rapports entre les États et entre les peuples. Du coup, c‟est le régime de la violence structurelle et permanente qui, partout, gagne du terrain au Sud, tandis que le droit international agonise.
Mais qui sont donc ces cosmocrates qui, peu à peu, privatisent jusqu‟à l‟eau que les peuples doivent désormais leur acheter ? Ce livre traque leurs méthodes les plus sournoises : ici on brevète le vivant, là on casse les résistances syndicales, ailleurs on impose la culture des OGM par la force.
Oui, c‟est bien l‟empire de la honte qui s‟est mis subrepticement en place sur la planète. Mais c‟est précisément sur la honte qu‟est fondé le ressort
révolutionnaire, comme nous l‟ont appris les insurgés de 1789.
Cette révolution, elle est en marche : insurrections des consciences ici, insurrections de la faim là-bas. Elle seule peut conduire à la refondation du droit à la recherche du bonheur, cette vieille affaire du XVIIIe siècle.
Jean Ziegler, qui témoigne ici d‟une connaissance exceptionnelle du terrain, y appelle sans réserve en conclusion.
Jean Ziegler est rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l’alimentation. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquels La Suisse lave plus blanc (1990), La Suisse, l‟or et les morts (1997), Les Nouveaux maîtres du monde (2002)"
Bonne lecture
Pheel