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Le projet de loi liberticide sur la psychiatrie examiné au Sénat | |
etoiledusud de Nice |
Le projet de loi concernant les hospitalisations et soins sous contrainte en psychiatrie est actuellement en discussion au Sénat. Cette loi pourrait instaurer des traitements psychiatriques de force à domicile. ...
Psychiatrie: la majorité sénatoriale accepte les soins ambulatoires sans consentement PARIS - La majorité sénatoriale UMP et Union centriste s'est finalement ralliée, vendredi, à l'une des dispositions centrales du projet de loi sur l'hospitalisation d'office, la possibilité de soins ambulatoires sans consentement pour troubles psychiatriques. Alors qu'une bonne partie d'entre eux, notamment centristes, critiquait cette mesure, la majorité a adopté vendredi à l'aube un amendement de compromis d'Alain Milon (UMP), sous-amendé par le rapporteur UMP Jean-Louis Lorrain, précisant le dispositif. Nous ne voyons pas comment quelqu'un qui est soigné sans son consentement peut être soigné chez lui, avait pourtant déclaré lors de l'examen en commission Alain Milon (UMP). Son amendement précise notamment que ces soins ambulatoires peuvent avoir lieu indifféremment dans des unités hospitalières temps plein et dans tous les autres lieux où les équipes psychiatriques interviennent habituellement. La présidente de la commission des Affaires sociales, la centriste Muguette Dini, qui avait claqué la porte comme rapporteure du texte après que ses propositions eurent été rejetées en commission, s'est toutefois abstenue. D'amendement en sous-amendement, nous arrivons à un texte en léger progrès. Encore un effort, madame la ministre, et les soins ambulatoires ne pourront être prescrits qu'à des malades consentants a-t-elle ironisé. Ces tâtonnements montrent combien le projet de loi n'est pas abouti, a-t-elle asséné. La gauche a vivement combattu cette disposition, jugeant comme Annie David (CRC-SPG, communistes et parti de gauche) que les patients ne doivent être ni livrés à eux-mêmes ni mis à la charge de leur famille. Ces soins ne font l'objet d'aucune définition précise, rien sur le contenu du protocole, sur les conditions de sa mise en oeuvre, et ils sont inapplicables en raison du manque de personnel qualifié, a renchéri Jacky Le Menn (PS). L'examen du projet de loi, qui est contesté par tous les syndicats de psychiatres, pourrait se prolonger jusqu'à vendredi. |
etoiledusud de Nice |
Rappelons quelques points de ce projet de loi.
Sur l'avis d'un seul psychiatre, un citoyen pourra être interné de force pendant 72h en hôpital psychiatrique. Durant cette période d'observation, tout type de traitement pourra lui être administré de force. A l'issue de cette « garde à vue psychiatrique », la personne pourra soit être internée sous contrainte en psychiatrie, ou contrainte à prendre des traitements à domicile. Cette procédure de soins sous contrainte à domicile est une première en France. Cette mesure n'existe pas dans la loi actuelle. Aujourd'hui, une personne peut recevoir des traitements de force que si elle fait l'objet d'un internement sous contrainte. Si ce projet de loi est voté, des milliers de citoyens pourraient être forcés de prendre un traitement psychiatrique à leur domicile. Si une personne refuse son traitement, elle sera internée de force. Cette mesure est inacceptable ! Elle compromet les droits fondamentaux des citoyens. C'est la porte ouverte à la mise sous camisole chimique de la population . Il est pourtant connu aujourd'hui que certains médicaments psychiatriques entraînent des effets secondaires nuisibles et trop souvent dévastateurs. Avec plusieurs millions de consommateurs chaque année, les français sont aujourd'hui victimes de ces traitements délétères. Le projet de loi ne ferait qu'augmenter cette consommation déjà excessive et dangereuse de psychotropes. La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme, qui se bat depuis plus de 35 en France pour dénoncer les violations des Droits de l'Homme en psychiatrie, dénonce ce projet de loi liberticide. L'association a transmis de nombreuses propositions d'amendements aux parlementaires. |
Vinci de Nice |
ben en fait,il manque des places et comme il y a beaucoup de barges en liberté, c'est peut être une solution
tu sais une fois, je me suis fait massacré par un fou en liberté sans aucune raison, simplement, j'étais sur son passage,et lui remis en liberté faute de place |
etoiledusud de Nice |
mouai bein moi j ai croiser un gars de france telecom super gentil bac +10 et il a eu un coup de stress pendant les évènements de francetel et bien çà femme la fait interneren tant que tier il c retrouver pendant 1 mois sans pouvoir avoir un avocat ,un téléphone le tout gaver de drogue psy de force je vois pas ou son les liberte....alors que quelques jours a la montagnes lui aurais fais le plus grand bien ...
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06Sylvie de Nice |
Moi je pense que ce qui a dû lui faire le plus grand bien, c'est de ne pas avoir de téléphone pendant un mois
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CANNELLE66 de Nice |
...je me demande où commence la folie chez un individu et pourquoi , au tournent de la vie peut frapper n'importe qui , vous moi et pourquoi !
Si seulement...on pouvait entendre et écouter plutôt que de faire le sourd et condamner un être humain. Accusez un enfant de folie , il vous la rendra bien plus tard , sa rage. Quant à enfermer quelqu'un , la justice n'est déjà pas capable d'enfermer un meurtrier alors la folie !!! |
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